( Cette petite partie d'histoire sur Faralya dae de l'époque ou elle était encore en chair et ... en chair ! J'espère que vous prendre du plaisir à me lire :] )
Une mère, un père , et deux filles , l’une plus jeune que l’autre mais semblant tout aussi capable que sa sœur ainée.
Des parents voulant que leurs filles soient un exemple devant les autres enfants dans les écoles et les formations de Prêtresse.
Sa sœur rentrait avec le sourire porteur de bonnes nouvelles, quant à elle, elle baissait la tête puis tentait de se faire oublier en montant dans sa chambre pour bouquiner secrètement des livres d’Origine gobeline.
L’adolescence arrive pour les deux gamines, la jeune Faralya commence vraiment à devenir le mouton noir de sa famille, elle échoue ou sa sœur triomphe.
L’affection se porte sur la plus prodigieuse des deux, ce qui donna à Faralya des envies de fugue très fréquentes; même si sa sœur tenait beaucoup à elle, l’aidant du mieux qu’elle pouvait.
Faralya s’était déjà beaucoup renfermée sur elle-même au cours de tout ce temps de rejet de la part de ses propres parents.
Un soir, après le repas familial elle se fit remonter les bretelles « encore une fois » par ses deux parents. Cela entraina une punition, seule dans sa chambre, elle lorgnait sur son maigre sac en se rongeant les ongles, le regard plein de haine.
Une mère affolée, un père en colère, une sœur perdue. C’est ainsi qu’elle les laissa.
Sa route fut longue et indécise, elle regardait sans cesse derrière elle, de peur qu’on la ramène dans ce qu’elle pensait être l’enfer.
C’est après deux bons jours de route qu’elle arriva vers Cabestan, émerveillée de voir une tête de Gobelin lui hurler dessus « Bonjour !! ».
Elle discuta longuement avec ce Gobelin, lui demandant des informations sur les livres qu’elle feuilletait depuis tant de temps. C’est vers Tanaris qu’elle se lança avec un large sourire aux lèvres , ce sourire qui avait disparu il y à bien longtemps.
Elle traversa au trot Les Tarides du Sud, puis les Millepointe sans s’arrêter, le cœur battant plus que jamais.Elle traversa tout en courant les Salines, pour arriver à l’entrée du désert , les yeux pétillants , la ville Gobeline droit devant elle. C’est à ce moment que sa vraie vie commença.
La vie de l’Ingénierie …