Basé sur une histoire vraie
Le puissant corps velu du Tauren s'agite brusquement, le maigre pagne ne couvrant qu'une mince partie de son anatomie proéminente tanguait au rythme de son allure indécise. Il était d'un pas rêveur, le sentier solitaire.
Il déambulait alors dans les parcelles vertes qui jalonnaient la banque nord, ses sabots s'humidifiaient au contact des gouttes qui perlaient sur ces hautes herbes. Il s'assied, face aux neiges de la couronne givrée, d'un blanc presque aussi âcre que la semence nourrissante qui gisait dans les bas-fonds de Stormwind. Seul avec son désarrois naissant, il parlait avec une solitude certaine.>
« Le fleuve est pareil à mon manque, n'y a-t-il donc que moi qui puisse succomber au fruit inaccessible ? »
« Par la Terre Mère ! Qui est là ?! »
L'une d'elles se leva prestement, il pu alors déduire la situation précédente. Il semblait qu'il s'agissait là de deux être féminins, l'une assise sur l'autre tandis que l'autre user d'un objet long et contondant pour s'adonner à des vices particuliers.
Elle recula et le reflet d'un second cristal arcanique illumina son corps, d'un blanc pâle, sa poitrine généreuse rebondit. Rapidement la femelle humaine se rhabilla, à sa tenue le serviteur de la nature reconnu une prêtresse.>
« Bonsoir, prêtresse. » Dit-il d'un ton envouté
« Quoi ? »
Il s'avanca
« Je suis Hakaarn, druide assidu. J'aimerai me joindre à vous dans votre culte charnelle. Puis-je ? »
« Ce que je faisais était de nature privé votre intervention était vulgaire et déplacée. » Répondit-elle d'un ton sec et vif
« Je ne m'attendais aucunement à trouver de jeunes fleurs écloses à cet endroit en cette heure. Je m'y rendais pour assouvir mes besoins solitaire. » S'avancant encore
« Et vous auriez donc pu partir. Nous ne sommes pas deux putains. » Tout en reculant, comme par mépris
« Loin de moi l'idée de vous qualifier de la sorte, prêtresse. J'eus espérer m'immiscer dans votre échange corporel en toute humilité. » Lui indiqua-t-il, noblement.
« Dégage ! C'est plus humble ? »
« Ce n'est pas ce que semble vouloir votre partenaire, n'est-ce pas, démoniste ? »
« Ni elle ni moi faisons la putain, votre intervention est déplacée. »
Le druide s'installa à leur place , il remarqua qu'elles avaient oubliés leurs objets de penchants amorales. Déjà nu, il dévissa d'un coup de sabot sec le flacon de chili et s'en appliqua. Il laissa vagabonder son esprit dans les méandres de son subconscient et imagina cette elfette qui jadis l'accompagner fièrement , dans des postures les plus incongrus.
Une fois sa petite affaire d'ordre intime terminait , il s'en alla trainer ses sabots dans l'herbe de Dalaran. Il connaissait cette endroit, où il aimait s'assoupir une nuit, au clair de lune, ce mastodonte de bois le supportait très bien et ses renfoncement semblaient des alcôves.>
« Prêtresse !? »
Le serviteur d'Elune se rhabilla en un instant et s'interposa entre le magnanime Tauren et cette démoniste.>
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« Je vous pardonne de ne pas m'avoir convier, commençons-nous ? »
« Nous ne sommes pas vos putains ! Quand donc comprendrez-vous cela, balourd ? »
« M'autoriser vous au moins à vous contempler dans cette clarté lunaire ? » Demanda-t-il innocemment
« Ce n'est pas du libertinage, je ne fais pas cela par vice, je le fais pour avoir du plaisir. »
« Vice et versa ? » D'un air amusé
« J'aime mieux un vice commode qu'une fatigante vertu. »
« Par vice commode vous désignez cette attitude de débauche d'éros ? »
« Nous avons nos besoins, nous les comblons. »
« Permettez-moi de qualifiez cela de perversion, humaine. Puis-je au moins avoir un nom à placer sur cette silhouette envoutante ? »
« Je suis l'ode de la vie et de l'épanouissement, charnel ou pas. » Dit-elle d'un ton mystérieusement attrayant
« Ode donc, et votre comparse ? »
« La malice l'habite, appelez-la comme bon vous semble, car c'est ce qu'elle m'a proposé lorsque je l'ai recueillie dans les égouts de Dalaran »
« Malycia et Aude, pas commode …
Je ne peut réellement pas me joindre à vous? Je me ferais une joie d'assouvir ces pulsions qui vous tracassent. »
(Remerciements speciaux à Jowy pour son aide mousslinesque & Hëlwina pour sa présence, seul fake excuse pour le caller dans les remerciements !)